segunda-feira, 30 de abril de 2007

HERZOG & de MEURON _ Beijing Olympic Stadium


Beijing Olympic Stadium by Herzog & de Meuron
13 designs were on showcase to the public of beijing, which could vote for their favorite design. 3 designs entered the final. the swiss office of herzog and de meuron captured the hearts of the public with their "nest-like" architecture. the beijing architecture design institute and japanese studio axs were the other two finalists. the exterior “nest-like” appearance is caused by curved steel-net walls. which enclose the stadium. the immense structure of the stadium will hold 80,000 seats and construction works will begin by the end of 2003 and be finished before the beginning of the 2008 beijing olympic games where it will have a leading role as national stadium.
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architects: jacques herzog and pierre de meuron
location: beijing, china

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SARKOZY SHOW


Entretien avec Nicolas SARKOZY in LIBÉRATION.fr 12.04.2007
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Partagez-vous cette conviction chiraquienne qu'une présidentielle se gagne dans les quinze derniers jours ?
Non. Elle peut se perdre dans les quinze derniers jours. C'est très différent. Depuis des années, on répète que je suis parti trop vite, que je vais exploser. La vérité, c'est que ma stratégie est simple : j'ai commencé à fond et je n'ai cessé d'accélérer.
Vous vous droitisez pour rassembler votre camp au premier tour ?
Vous vous trompez sur la situation de la France. Un électeur de gauche a autant besoin qu'on lui parle de la nation qu'un électeur de droite. Dire que les ouvriers se droitisent est une absurdité. Quelle est la vraie caractéristique de cette campagne ?

C'est que les gens ne se mobilisent pas sur des mesures mais sur des valeurs, sur le sens. Mais si je veux être tout à fait honnête, Ségolène est plus à droite que Jospin, je suis plus à droite que Chirac, Bayrou est plus à droite que Lecanuet. Finalement, celui qui est moins à droite qu'avant, c'est Le Pen !
Le «ministère de l'immigration et de l'identité nationale» a choqué à gauche, mais aussi à droite...
Cela n'a rien d'une provocation. Il faut parler de l'immigration et de l'intégration en même temps. Lévi-Strauss, le plus grand anthropologue français, a dit que «l'identité n'est pas une pathologie». Si vous ne mettez pas la question de l'identité dans la question de l'immigration, alors qu'est-ce que vous dites aux immigrés qui veulent devenir français sur ce qu'est la France ?
Cette revendication d'un ministère figure dans le seul programme du Front National.
Ce n'est pas parce que Le Pen touche quelque chose que cela devient interdit. Les gens se demandent ce que c'est qu'être français ? Ceux qui arrivent viennent avec leur identité ; on ne leur parle pas de l'identité de la France. Je propose de leur parler de l'identité de la France et de rassembler les deux concepts. Il y a un problème d'immigration, avec un système d'intégration qui ne marche plus.
Mais la plupart des immigrés s'intègrent...
Le voile, les «grands frères», les mariages forcés, la communauté turque dont certaines femmes ne parlent pas un mot de français, les nouveaux venus qui vivent entre eux, les quartiers difficiles avec des ghettos, tout cela, c'est une invention de ma part ?
Vous voulez récupérer l'électorat de Le Pen ?
Quand je dis : «Je veux convaincre les ouvriers de voter pour moi», personne ne m'attaque. Quand on dit : «Attention ! Il veut récupérer l'électeur du Front national», alors là, on tremble ! Au nom de quoi récupérer les électeurs du FN, c'est mal ?
Cela dépend des moyens que l'on emploie...
Il n'y a aucun moyen que j'emploie qui n'est pas républicain. Je me présente à des élections, je fais des discours importants. Je vais chercher ces électeurs en leur disant : «Vous êtes libres de voter pour qui vous voulez mais le vote FN est inutile.»
Pourquoi avoir abandonné votre idée d'accorder le droit de vote aux élections locales aux immigrés ? Ce serait un facteur d'intégration...
A titre personnel, je suis pour. Mais c'est une idée qui, aujourd'hui, cristallise les passions, raidit les positions.
Vous inquiétez un électorat de centre droit séduit par Bayrou...
François Bayrou est devenu un candidat de gauche. Il le dit lui-même. Je ne sais pas si je suis un candidat de droite qui inquiète, mais depuis Pompidou pas un candidat de droite n'a fait de tels résultats dans les études d'opinion. A la même époque en 2002, Jacques Chirac était à 21 %. La démocratie a besoin d'un vrai débat gauche-droite. C'est la dangerosité de Bayrou. A partir du moment où on nie le débat gauche-droite, on ouvre un champ béant aux extrêmes.
La position de Bayrou entre les deux tours vous inquiète ?
Il prendra les positions qu'il veut. Je rappelle qu'il y a les législatives après. Il faut bien qu'il fasse une alliance, soit avec la gauche, soit avec la droite. Sinon, comment sont élus ses députés ?
Si vous gagnez, Bayrou peut-il être un de vos ministres ?
François Bayrou a beaucoup pratiqué l'insulte, pas moi. Je sais bien qu'il faudra rassembler. J'attends les résultats du premier tour pour décider la stratégie du second. Reconnaissez que c'est curieux, un candidat qui dit : «Si je suis face à Royal, je rassemblerai la droite, si je suis face à Sarkozy, je rassemblerai la gauche.» C'est même la caricature du cynisme et de l'opportunisme !
Au second tour, serait-il plus redoutable que Ségolène Royal ?
Le second tour est redoutable quoi qu'il arrive. Pendant six mois, on m'a expliqué que Ségolène Royal était imbattable parce que c'était une femme, qu'elle souriait, qu'elle était moderne. Les mêmes expliquent aujourd'hui qu'elle ne peut pas gagner. Ils avaient tort hier, ils ont tort aujourd'hui. Quant à François Bayrou, j'attends de voir, s'il est au second tour, sa capacité à rassembler l'électorat de gauche...
C'est vous le meilleur argument pour le rassembler ?
Le «tout sauf Sarkozy» ? Je sais que c'est l'idée que vous caressez, mais où en trouvez-vous l'illustration ? Où sont ces manifestations contre moi ?
Il y a eu le déplacement à la Croix-Rousse, à Lyon, que vous avez annulé...
La Croix-Rousse, c'est extraordinaire ! Il y avait quarante militants d'extrême gauche. C'est ça, le référendum anti-Sarkozy ?
S'ils n'étaient que 40, pourquoi avoir reculé ?
Vous croyez que je veux faire le 20 Heures avec des images de violence autour de moi ? Vous pensez que j'ai assez peu d'expérience pour tomber dans ce piège ?
Vous n'irez donc pas en banlieue contrairement à ce que vous aviez annoncé ?
Vous n'avez cessé d'expliquer que j'instrumentalisais la banlieue en y allant avec des caméras. Depuis quelques mois, j'y vais moins, et vous expliquez que j'ai tort ! Vous agitez la muleta mais je sais qu'il y a un mur derrière, je ne suis pas obligé de me jeter dedans !
Pourquoi avoir déclaré que la pédophilie était génétique ?
Je n'ai pas dit exactement cela. J'ai expliqué que tout ne dépendait pas de l'acquis, mais qu'une partie pouvait être de l'inné. Dans quelle proportion ? Je ne suis pas savant. Par exemple, quand j'étais enfant, j'étais choqué parce que l'on expliquait, quand un enfant était homosexuel : «Sa mère a eu tort, elle a dormi avec lui». Quand un enfant était anorexique, on disait : «Le père était absent.» Quand un enfant était autiste, on disait : «Oh là ! Les parents ont divorcé, cela a provoqué un choc.» Depuis, on sait que l'autisme, c'est génétique. Je pense aussi que la sexualité est une identité.
Vous avez dit que vous étiez né hétérosexuel...
Oui, je suis né hétérosexuel. Je ne me suis jamais posé la question du choix de ma sexualité. C'est pour cela que la position de l'Eglise consistant à dire «l'homosexualité est un péché» est choquante. On ne choisit pas son identité. Vous, à quinze ans, vous vous êtes demandé : «Au fond, suis-je homosexuel ou hétérosexuel ?»
Vous pensez qu'on exagère la part de l'acquis dans la mentalité contemporaine ?
On a l'identité qu'on a. De la même façon qu'il y a des gens qui ont tendance à grossir et d'autres pas, des chauves et des chevelus, des petits et des grands... Nous sommes six millions de migraineux. C'est totalement héréditaire. Ma mère était migraineuse, mes fils sont migraineux. C'est un patrimoine génétique.
Si on surestime l'acquis , c'est encore un méfait de cette «idéologie soixante-huitarde» que vous exécrez ?
Non. Le 68 que je dénonce, c'est le relativisme : tout se vaut. L'erreur fondamentale de 68, c'est de ne pas avoir compris que la transgression de la règle amène à la création. Si vous supprimez la règle, il n'y a plus de beau et de mal, tout se vaut.
Votre programme fiscal ne sert pas vraiment les catégories populaires. La suppression des droits de succession, c'est un beau cadeau pour les riches ?
L'égalité des chances, ce n'est pas d'aller prendre le patrimoine de celui qui a la chance de naître dans une famille où il y a un patrimoine, c'est de faire en sorte que celui qui naît dans une famille où il n'y a pas de patrimoine puisse en acquérir un. Il n'est pas illégitime que des parents qui ont travaillé toute leur vie transmettent quelque chose à leurs enfants. Que doit faire la République pour garantir l'égalité des chances ? Non pas retirer le patrimoine de celui qui a des parents qui l'ont gagné, mais donner plus à celui qui n'a pas de patrimoine. Moi, je suis pour que la République corrige les inégalités en promouvant ceux qui n'ont rien. Vous, vous êtes pour que la République corrige les inégalités en faisant reculer ceux qui ont un patrimoine.
Le «Canard enchaîné» révèle que vous avez promis à Chirac d'éteindre les poursuites à son égard après la fin de son mandat ?
C'est faux et grotesque !
Quand allez-vous rendre public votre patrimoine comme vous l'aviez promis ?
La seule chose que j'ai, c'est le produit de la vente de l'appartement que je possédais et les parts que j'ai dans mon cabinet d'avocats. Les dividendes que j'ai touchés à ce titre, très modestes, ont été également publiés. Le directeur général des Impôts a dit : «S'agissant de l'ISF de M. Sarkozy, nous pouvons certifier qu'il n'y a aucun problème.» Je suis le seul candidat dont on ait dit cela. Il n'y a rien, aucun secret. Je n'ai pas de société civile immobilière.
Cette campagne, elle est plus dure que vous le pensiez, comme le disait François Bayrou ?
Non, plutôt moins. L'affaire Clearstream était lourde pour moi. Et puis la campagne, à vrai dire, a commencé en 2002.
Cinq ans de primaires à droite ?
Oui, Chirac, Villepin, Raffarin, Alliot-Marie, c'est cinq ans de primaires ! Et il reste quinze jours...

domingo, 29 de abril de 2007

MICHAEL SNOW _ prize


Canadian experimental filmmaker and contemporary artist Michael Snow will be honored with the first MoCCA Award in Contemporary Art. The ten-thousand-dollar MoCCA Award, from the Museum of Contemporary Canadian Art in Toronto, is being awarded to Snow for lifetime achievement in innovative contemporary art. Toronto-based Snow, seventy-eight years old, works in painting, sculpture, video, films, photography, holography, drawing, books, and music.

sábado, 28 de abril de 2007

TATI _ MON ONCLE no cinema



WHAT LOOKS GOOD IN THE WEEK END



DANIEL BARROCA expo


No Museu da Electricidade DANIEL BARROCA apresenta novos trabalhos - uma projecção de slides e desenhos - na exposição LAMA.
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Museu da Electricidade
Avenida Brasília_1300-598 LISBOA
de 19 de Abril a 20 de Maio de 2007
terça a domingo das 10h à 01h

quinta-feira, 26 de abril de 2007

PROPOSTAS DA ARTE PORTUGUESA. POSIÇÃO:2007 _LIVRO E CONFERÊNCIA


Lançamento do livro Propostas da Arte Portuguesa. Posição: 2007
editado por Miguel von Hafe Pérez, volume IX da Colecção Público / Serralves
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DEBATE 27 ABR 2007, 18h30 MUSEU DE SERRALVES
Entrada gratuita
O que significa ser artista hoje em Portugal?
Modos de produção, canais de difusão e plataformas de recepção. Por ocasião do lançamento deste volume da Colecção de Arte Contemporânea Público Serralves, debate com Carla Cruz, Daniel Barroca, Eduardo Matos, Isabel Carvalho, Manuel Santos Maia, Mafalda Santos, Pedro Barateiro.
Propostas da Arte Portuguesa. Posição: 2007 traça um percurso através da obra de um conjunto de artistas que utilizam meios tão diversificados como a pintura, a escultura, o vídeo, o desenho, a instalação, a fotografia ou a performance para demarcarem territórios de uma singularidade absoluta. Este livro propõe uma reflexão sobre os modos de produção e partilha da arte contemporânea, a afirmação dos artistas enquanto criadores de plataformas de visibilidade própria e o impacto da utilização da imagem em movimento na produção e recepção da arte actual.
Apresentação do livro e moderação do debate por Miguel von Hafe Pérez, crítico de arte e comissário de exposições, actualmente responsável pelo projecto www.anamnese.pt da Fundação Ilídio Pinho, onde integra o Conselho das Artes que está a constituir uma colecção de arte contemporânea portuguesa.
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Propostas da Arte Portuguesa. Posição: 2007 estará disponível no dia 30 de Abril juntamente com o Jornal Público.

terça-feira, 24 de abril de 2007

ELEIÇÕES FRANCESAS_SARKO ?


Brevemente vamos conhecer qual o próximo presidente_SARKO ?

sábado, 21 de abril de 2007

CARLA FILIPE inaugura no IN.TRANSIT


IN.TRANSIT # 29.
apresenta uma exposição de CARLA FILIPE > PESQUISA NO CAMPO_ DESERTAR_ ANTES QUE GANHE UM CANCRO
inauguração. 21.abril.sábado. 16h. no edifício artes em partes na rua miguel bombarda 457 no Porto.

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Instalação site-specific para a sala IN.TRANSIT. Apresentação se uma série de aproximadamente 100 desenhos que relatam viagens realizadas pela artista entre 2002 - 2005. Esta é a primeira apresentação pública deste conjunto
de trabalhos.
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fichas técnicas.
ROTERDÃO 04 2004 – 2007
49 desenhos a tinta da china, esferográfica, com colagens e decalques sobre papel + materiais diversos como postais, fotografias, disco de vinil e recortes de imprensa.
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LONDRES 05 2005 – 2007
45 desenhos a tinta da china, esferográfica, com colagens e decalques sobre papel + materiais diversos.
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PORTO – PARIS - BERLIM – KASSEL – FRANKFURT 03 2003 – 2007
12 desenhos a tinta da china, esferográfica e colagens sobre papel.
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IN .TRANSIT # 29
texto sobre_CARLA FILIPE_DESERTAR
por_GISELA LEAL

A postura que adoptamos quando viajamos depende do olhar com que partimos e, num segundo momento, daquilo que encontramos. O acto da partida pode ser impulsionado pelo desejo de encontrar a diferença, por pura curiosidade vernácula, pela procura de marcas de uma história universal onde, por afinidade, se encontrem laivos da própria identidade ou apenas por uma necessidade visceral de mudar de lugar. Em qualquer dos casos, pensamos em sair, deixar um lugar para ir de encontro a outro. Não falamos aqui de um acto de abandono da pátria em busca de exílio ou do renegar de um contexto familiar, social ou político. No entanto, num ponto podem cruzar-se as motivações da partida com as deste "desertar", de Carla Filipe: a exploração de possibilidades.

A viagem pode até ser feita no papel, como nos ensinam obras fundamentais da literatura mundial como a Odisseia, a Divina Comédia, Os Lusíadas, o Dom Quixote ou a própria Bíblia. Na tradição portuguesa, a literatura de viagem tem particular importância se pensarmos que os seus antecedentes são os registos dos navegadores na época dos descobrimentos. Procurando fixar rotas, características da costa ou atmosféricas que permitissem a repetição da façanha, aos diários de bordo (cuja função seria, por isso, puramente pragmática) foram sendo associados elementos de carácter narrativo que introduzem desde logo a subjectividade que revela a relação do narrador com o observado.
Hoje, como então, a primeira relação criada com o novo espaço é visual, as primeiras impressões são recebidas pelo olhar, o primeiro lugar habitado é o mapa. As representações surgem pela primeira vez aí, desde logo assentes em convenções. Mas cedo a relação com o espaço assume contornos de transgressão: descobrem-se direcções, indicações, sugestões, que apenas os passos que acompanham o olhar podem perseguir.
Por aqui segue o viajante – o turista, o curioso, o investigador ou o artista. E se quisermos falar do olhar do artista, veremos como pode transfigurar o seu objecto de observação, de modo declaradamente propositado. E o propósito poderá até ser o de resguardar um outro espaço de liberdade e, simultaneamente, de reencontro: a criação.

De uma experiência de ida a identidade pode, de facto, regressar transfigurada. Carla Filipe remete essa transfiguração para o seu trabalho – os desenhos.
E o que a artista evidencia nesta primeira exposição da nova série de trabalhos resultantes de viagens a cidades europeias é precisamente uma atenção do olhar e um cuidado na recolha de múltiplas referências que lhe permitem a posteriori construir novas representações (particulares, críticas, sensíveis, impressivas, relacionais, irónicas e até cómicas), derivadas e, ao mesmo tempo, distanciadas das retidas nos lugares de destino.

Trabalhar sobre representações encontradas, analisando-as, manipulando-as e acrescentando-lhes a diferença é, afinal, uma forma de digerir a informação. E a artista trabalha-a recorrendo a várias fontes: a que se impõe por meio da divulgação turística, especificamente concebida para atrair o interesse do forasteiro, e a que resulta da atenção devotada a elementos da cultura local (os jornais, a organização social, o urbanismo, o protagonismo da arte). Num outro plano, emergem as experiências pessoais adquiridas in loco – a descoberta casual do sítio, em Londres, onde Jack o Estripador angariava as suas vítimas ou a queda caricata à porta da White Cube Gallery frente a Paula Rego.

As referências aos elementos que servem de ponto de partida aos desenhos resultam no cruzamento entre referenciais pessoais e referenciais locais, cuidadosamente reorganizados.
São os próprios elementos constitutivos dos desenhos a criar as dinâmicas de percepção e identificação, mas dentro de um processo de recontextualização assente na manipulação, distorção, reinterpretação, apropriação de ícones, introdução de elementos estranhos ao local, à situação, ao personagem ou à estória de partida.
Processo minucioso este que revela em pormenores as impressões e a reflexão da artista, numa intervenção feita de pequenas narrativas e figurações (por meio do desenho ou do texto), agrupadas em três blocos/ viagens. Em cada um deles se percebe uma relação particular com o lugar de destino. A possibilidade terá sido sempre, num ou noutro momento, desertar.

GL, abril, 2007
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CV_CARLA FILIPE
Carla Filipe nasceu em 1973 na Póvoa do Valado (Aveiro).
Em 2001 concluiu a licenciatura em Artes plásticas - escultura na FBAUP. Entre as exposições individuais destacam-se em 2005 "Without Name" na Galeria Quadrado Azul, Porto e em 2004 "Zona de Estar" no espaço Salão Olímpico, Porto.Entre as exposições colectivas destaca-se em 2006 a participação e co-organização da exposição "Busca Pólos" (parte 1) no Centro Cultural de Vila Flor em Guimarães, com os trabalhos "Linha territorial" e "Periurbano I - uso privado sem cadeado" e "Busca Pólos" (parte 2) no Pavilhão de Portugal em Coimbra, programado pela Fundação de Serralves, com os trabalhos "People centred" e " Periurbano II - doacção comunitária com cadeado". No ano de 2005 participou no Projecto TERMINAL na exposição "TOXIC, O Discurso do Excesso" com o trabalho "Família".Tem feito um percurso na maioritariamente em espaços independentes da cidade do Porto, como a Caldeira 213, Artemosferas, Pêssegoprásemana, A Sala. Foi membro e colaboradora do espaço Salão Olímpico (2003/05) e gere neste momento juntamente com Isabel Ribeiro o projecto "Apêndice".

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IN.TRANSIT
terça a sábado. 14.30h. às 19.30h até 26 maio
contactos. 936396964_ paulomendes@plano21.net
projecto IN.TRANSIT
produção_PLANO 21.associação cultural
apoio_ARQUITRAVE.arquitectos associados lda.

ANDRÉ ALVES inaugura na GALERIA REFLEXUS


ANDRÉ ALVES apresenta na Galeria REFLEXUS Arte Contemporânea no Porto uma instalação com novos trabalhos intitulada O ESTADO NOVO QUE É O ANTIGO.
Inauguração dia 21 de abril_16h.
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A História foi outrora a marca de uma obsessão.
A nossa idade é de uma obsessão sem estória.
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REFEXUS Arte Contemporânea
Rua D. Manuel II 130 - 2 andar (junto a Miguel Bombarda) no Porto.
Terça a sábado das 15h _ás 19h
tm_936866492

SENHORIO promove GRANDE PRÉMIO DE DESENHO


quem desenha quer ganhar...

sexta-feira, 13 de abril de 2007

REFLEXUS expo inaugural último dia_sábado 14


> PAULO MENDES
> ISRAEL PIMENTA

Encerra sábado dia 14 abril a primeira exposição da GALERIA REFLEXUS uma nova galeria de arte contemporânea no Porto.
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Exposição colectiva com ANDRÉ ALVES > ISABEL RIBEIRO > ISRAEL PIMENTA > JOÃO FONTE SANTA > JOSÉ ALMEIDA PEREIRA > LUIS RIBEIRO > MAURO CERQUEIRA > MAX FERNANDES > PAULO MENDES > RITA CASTRO NEVES > SÓNIA NEVES + ARLINDO SILVA >
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REFLEXUS _ Arte Contemporânea
Rua D. Manuel II, 130, 2 frt4050-343 Porto (localização junto a Miguel Bombarda)
Sábado das 15h_19.30h
tel. 936866492

> ISABEL RIBEIRO
> ANDRÉ ALVES

> JOÃO FONTE SANTA

quinta-feira, 12 de abril de 2007

EDUARDO MATOS inaugura no APÊNDICE


Projecto Apêndice apresenta MAIS UM DIA instalação de fotografia e escultura
de EDUARDO MATOS
Inaugura a 17 (terça-feira) de Abril pelas 18h00
até 30 de Abril.
Projecto Apêndice
Centro Comercial de Cedofeita, Loja nº 100
Rua de Cedofeita - Porto
o.apendice@gmail.com

JOSÉ MAÇAS DE CARVALHO inauguração na SOLAR



Video Killed the Painting Stars é a nova exposição de
José Maçãs de Carvalho na Solar, Galeria de Arte Cinemática,
onde apresenta um conjunto de novas instalações vídeo.
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Solar_Galeria de Arte Cinemática
de 14 de Abril a 20 de Maio
Solar de S. Roque, Rua do Lidador, 4480 Vila do Conde
Horários_terça a sexta 14:30-18:00 (Sextas até 00:00)
sábado 09:30-12:30/14:30-00:00_domingo 09:30-12:30/14:30-18:00

terça-feira, 10 de abril de 2007

SALÃO OLÍMPICO lançamento do livro


SALÃO OLÍMPICO convida_
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para o lançamento do Livro Salão Olímpico 2003/06
Quarta-feira_11 de Abril_às 22h
Salão Olímpico, rua Miguel Bombarda_257 - Porto
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O livro Salão Olímpico 2003/06, publicado em parceria pelo Museu de Arte Contemporânea de Serralves e o Centro Cultural Vila Flor e concebido por José Maia.
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Este livro documenta toda a actividade do Salão Olímpico entre 2003 e 2005, assim como, as exposições Busca Pólos I e II realizadas no ano de 2006 no Centro Cultural Vila Flor - Guimarães e no Pavilhão Centro de Portugal - Coimbra.
Diversos autores foram convidados a reflectir a actuação e experiência do Salão Olímpico, através de ensaios escritos e visuais.
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Indice do livro
Salão Olímpico 2003/06:
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Apresentação - João Fernandes
Salão Olímpico - Ivo Martins
Sentámo-nos à mesa para conversar - José Maia conversa com Carla Filipe, Isabel Ribeiro, Eduardo Matos, Renato Ferrão e Rui Ribeiro, membros fundadores do Salão Olímpico
Montes da Verdade - Ricardo Nicolau
Salão Olímpico - Sandra Vieira Jürgens
Os Fanzines no Porto, Hoje - Marco Mendes
O autor como produtor - João Sousa Cardoso
Abrir o campo de acção - Rui Ribeiro
Depoimentos visuais
Exposições no Salão Olímpico - Gisela Leal
Exposição Busca Pólos - Gisela Leal
Publicação Olímpico # 0
Publicação Olímpico # 1
Textos de Artistas
Flyers, Cartazes
Biografia dos artistas

segunda-feira, 9 de abril de 2007

Sol LeWitt morreu



Morreu Sol LeWitt, artista americano ligado ao movimento minimalista e uma das figuras mais importantes da arte americana do século XX.
Depois de uma longa batalha contra o cancro morreu no passado dia 8 de Abril em N.Y. com 78 anos.
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Em 1969 publicou Sentences on Conceptual Art texto determinante para a compreensão e desenvolvimento da arte contemporânea.

Sentences on Conceptual Art
by Sol Lewitt (1969)

1_Conceptual artists are mystics rather than rationalists. They leap to conclusions that logic cannot reach.
2_Rational judgements repeat rational judgements.
3_Irrational judgements lead to new experience.
4_Formal art is essentially rational.
5_Irrational thoughts should be followed absolutely and logically.
6_If the artist changes his mind midway through the execution of the piece he compromises the result and repeats past results.
7_The artist's will is secondary to the process he initiates from idea to completion. His wilfulness may only be ego.
8_When words such as painting and sculpture are used, they connote a whole tradition and imply a consequent acceptance of this tradition, thus placing limitations on the artist who would be reluctant to make art that goes beyond the limitations.
9_The concept and idea are different. The former implies a general direction while the latter is the component. Ideas implement the concept.
10_Ideas can be works of art; they are in a chain of development that may eventually find some form. All ideas need not be made physical.
11_Ideas do not necessarily proceed in logical order. They may set one off in unexpected directions, but an idea must necessarily be completed in the mind before the next one is formed.
12_For each work of art that becomes physical there are many variations that do not.
13_A work of art may be understood as a conductor from the artist's mind to the viewer's. But it may never reach the viewer, or it may never leave the artist's mind.
14_The words of one artist to another may induce an idea chain, if they share the same concept.
15_Since no form is intrinsically superior to another, the artist may use any form, from an expression of words (written or spoken) to physical reality, equally.
16_If words are used, and they proceed from ideas about art, then they are art and not literature; numbers are not mathematics.
17_All ideas are art if they are concerned with art and fall within the conventions of art.
18_One usually understands the art of the past by applying the convention of the present, thus misunderstanding the art of the past.
19_The conventions of art are altered by works of art.
20_Successful art changes our understanding of the conventions by altering our perceptions.
21_Perception of ideas leads to new ideas.
22_The artist cannot imagine his art, and cannot perceive it until it is complete.
23_The artist may misperceive (understand it differently from the artist) a work of art but still be set off in his own chain of thought by that misconstrual.
24_Perception is subjective.
25_The artist may not necessarily understand his own art. His perception is neither better nor worse than that of others.
26_An artist may perceive the art of others better than his own.
27_The concept of a work of art may involve the matter of the piece or the process in which it is made.
28_Once the idea of the piece is established in the artist's mind and the final form is decided, the process is carried out blindly. There are many side effects that the artist cannot imagine. These may be used as ideas for new works.
29_The process is mechanical and should not be tampered with. It should run its course.
30_There are many elements involved in a work of art. The most important are the most obvious.
31_If an artist uses the same form in a group of works, and changes the material, one would assume the artist's concept involved the material.
32_Banal ideas cannot be rescued by beautiful execution.
33_It is difficult to bungle a good idea.
34_When an artist learns his craft too well he makes slick art.
35_These sentences comment on art, but are not art.
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First published in 0-9 (New York), 1969, and Art-Language (England), May 1969

quarta-feira, 4 de abril de 2007

DAVID LYNCH _ estreia nacional de INLAND EMPIRE


INLAND EMPIRE _ o último filme de DAVID LYNCH
estreia quinta-feira _ dia 5 de Abril.
O filme estreia no Cinema Medeia Monumental_ Lisboa

e no Cinema Medeia Cidade do Porto_ Porto.

segunda-feira, 2 de abril de 2007